Depuis maformation de coach professionnel en 2020/21, j’ai découvert les bénéficesd'observer la météo … pas celle du ciel, mais celle de mes émotions. Cela m'aaidé et m'aide encore à grandir et apprendre ...
☀️ Joie → j’apprends la gratitude envers la vie
🌫️Tristesse → j’apprends l’écoute intérieure
🌧️Peur → j’apprends le courage tranquille
⛈️ Colère → j’apprends l’expression non violente
Dans cet article, je vous explique tout dans les épisodes 2 à 5 de cette sériesur la météo émotionnelle. Vous l'avez probablement expérimenté vous-même, onne choisit pas sa météo émotionnelle. Mais on peut apprendre à la reconnaître,à s’y adapter, à en faire une boussole intérieure.
Et comme pour la météo du ciel, il s'agit d'observer sans jugement etd'accueillir/accepter ce qui vient quand cela vient.
Et si, au lieu de vouloir être toujours “au beau fixe”, on s’autorisaitsimplement à être humain et accueillir ce qui vient, quand ça vient ?
Il y a des jours où je me lève serein et heureux, tout semble fluide. Leséchanges sont simples.
Les idées jaillissent. Le travail est plaisir.
C’est la joie ... comme un rayon de soleil qui me réchauffe sans prévenir.
Pendant longtemps, j’ai cru qu’il fallait “mériter” cette joie.
Aujourd’hui, je comprends qu’elle est gratuite ... et fragile.
Ce que cette émotion m'apprend une compétence douce : la gratitude
🙏Savourer ce moment de fluidité.
🙏Ne pas chercher à retenir ce soleil… mais juste accueillir et profiter tantqu’il est là. Dire merci intérieurement.
🙏Dire merci pour ... cette émotion, ce café du matin, les souffles de marespiration, la vie ...
Il y a ces jours où le ciel reste bas. Où mon élan s’émousse. Où j'avance auralenti.
Je connais bien ces journées-là. Celles où la tristesse pointe le bout du nez,discrète mais tenace.
C’est désagréable… mais ce n’est pas une faiblesse.
C’est souvent le signe que quelque chose change en nous.
Et si, au lieu de fuir ce brouillard, on apprenait à l’écouter ?
👉Laisser la tristesse nous parler de ce qui nous manque.
👉Ralentir pour mieux ressentir, sans culpabiliser.
👉Se donner la permission d’être traversé, sans se juger.
Car derrière chaque ciel gris, il y a souvent une prise de conscience engestation.
Et un nouveau demain plus beau en préparation ...
La pluie me rappelle mes peurs. Parfois fine comme la bruine, presque imperceptible.Parfois torrentielle.
Dans ma vie pro ou perso, la peur a pris mille visages :
➤ peur de me lancer
➤ peur de mal faire
➤ peur de déplaire
➤ peur d'échouer
Mais j’ai appris que la peur ne disparaît pas. Elle s’apprivoise et on peutavancer avec, comme on peut continuer à marcher sous la pluie.
Et cette peur m'apprend une compétence douce : le courage tranquille.
Celui de faire unpas après l’autre, même sous la pluie.
👉Choisir l’action malgré le doute.
👉Chercher du soutien quand le sol glisse.
👉Et reconnaître que le vrai courage, ce n’est pas d’être invincible… c’est derester en mouvement.
La colère m’a longtemps fait peur. Trop bruyante. Trop vive. Trop risquée.
Et pourtant… elle m’a souvent sauvé.
Parce qu’elle m’indique que ça coince, que ce n’est plus acceptable, que jedois poser une limite.
Comme un orage, elle fait du bruit. Mais elle peut aussi purifier l’atmosphère.
Transformer la tension en clarté
Ce que la colère m'apprend, c’est l'expression juste :
⚡ Dire ce qui me dérange sans blesser
⚡ Exprimer ce qui est essentiel sans exploser
⚡ Accueillir l’orage sans y perdre mon cap